Andrée Dohmen, volontaire à la maison Abbeyfield « Entre Voisins » à Bruxelles, nous adresse ces paroles fortes:
C’est le temps propice pour refaire nos forces et ancrer nos convictions.
L’adversité provoque et conforte.
Temps poétique, temps prophétique.
Situés dans une épopée immobile, nous voyons nos voiles se gonfler d’imaginaires inattendus.
Quand le vent soufflera à nouveau, prenons garde à ne pas perdre le cap de l’utopie.
Andrée fait également partie du mouvement social des aîné.es Enéo, Présidente de l’association Enéosport, qui s’adresse aux plus de 50 ans, elle est en charge de l’édito du magazine du mouvement :
« L’époque que nous vivons dégage une atmosphère étrange : mélange de craintes et d’attendrissement…….Nous sommes scotchés aux sources d’information que sont les journaux parlés et télévisés . Et les médias papier……….
Ainsi dans le journal « Le Soir » du jeudi 19 mars, la mise en exergue, d’une phrase d’une Carte blanche du Professeur Benoit Frydman fait un bien fou : « Le temps du « nous » est de retour, et c’est une bonne nouvelle ». Ah que cette phrase rejoint nos aspirations ! »
Pour lire l’intégralité du texte dans le magazine Enéo info, cliquez ICI.
Le Martin Pêcheur confiné.
François Verhulst de La Maison « le Martin Pêcheur » témoigne:
Nous avons gardé les repas partagés chaque jour de la semaine, comme avant, mais en installant
quelques règles de « distanciation » : deux grandes tables ont été assemblées pour former un carré
de plus ou moins 3 mètres sur 3, ce qui permet à quatre ou cinq personnes de se retrouver mais « à
distance ». De plus, le repas, préparé par un « cuistot de service » est servi sur un buffet où chacun
va se servir à son tour : pas de cohue, un à la fois donc la distance est maintenue. De même,
chacun range ses couverts et sa vaisselle sur une desserte, à son tour, et une personne s’occupe
de la vaisselle. Nous avons convenu de ne pas nous retrouver à plus de deux dans la cuisine.
Pour lire le témoignage dans son intégralité, cliquez ICI
et là
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